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© Bernard Janssens
A Arsimont, la vie était une kermesse, du 15 au 18 août 2025. Les Beverly Pils en ont fait une démonstration. La bonne humeur, la musique, les rires, la danse, la bière ont submergé la place du Louet ce samedi soir. Le stress quotidien, les conflits, les grands défis de la planète sont mis de côté pour quelques heures. Seule la joie partagée imprègne l’atmosphère. Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ?
Suite à ma publication du 10 août évoquant les soies du maïs, je me suis intéressé à sa reproduction.
Le panicule (inflorescence mâle) apparaît au sommet du plant de maïs (photos 2 à 4). Les épillets produisent du pollen qui est dispersé par le vent.
Les soies (inflorescences femelles), situées sur les épis, sont constituées de poils collants destinés à réceptionner le pollen (photos 6 à 7). Chaque soie est à l’origine d’un grain.
Je ne vous expliquerai pas la double fécondation, je n’ai pas tout compris.
Merci Wikipédia.
Un champ, Au Farau, est entouré d’une ceinture de tournesols. Un rempart coloré ! Contre quel ennemi ?
Le halage, RAVEL 1, passant sous le pont de la N930 est en cours d’élargissement. Une passerelle avec une structure en acier est en cours de montage sous le pont. L’ancien passage sous le pont était étroit. Les cyclistes sur le RAVEL 1 étaient obligés d’emprunter une rampe pour remonter vers la N930, la traverser et redescendre ensuite sur le RAVEL. Maintenant, ils pourront passer sous le pont, sur un halage élargi et ainsi croiser la N930 d’une manière sécurisée.
Les moissons sont terminées, les ballots de paille attendent pour rentrer à la ferme. Pas d’inquiétude, on annonce de la chaleur dans les prochains jours, pas de la pluie. Par contre, le maïs prépare sa reproduction. Les soies, inflorescences femelles, sont développées pour recevoir les grains de pollen émis par les panicules (fleurs mâles) des plantes voisines.