Tamines, rue de l’Abattoir – le 23/06/2024
Auvelais, rue du Charbonnage – le 19/06/2023
Étiquette : Nature – Végétation
Le Pota’Sambre a 1 an
Tamines, rue de l’Abattoir – le 23/06/2024
Le Pota’Sambre est un lieu de rencontres végétales et humaines. Potager partagé, des habitants de Sambreville viennent y cultiver des légumes, des fleurs, des abeilles et des amitiés. Un havre de paix, près de du centre Tamines.
Coupole végétale
Valériane rouge
La centranthe rouge est une herbacée vivace qui peut mesurer de 30 à 130 cm. Cette plante aime la chaleur, les sols secs, rocailleux. Cela se confirme, je l’ai photographiée dans le ballast de la ligne de chemin de fer. Ses fleurs comptent 4 + 1 lobes. La tige, au-delà de la fleur, se prolonge par un éperon. Elle ne possède qu’une seule étamine. Elle est appréciée des bourdons et des papillons à longue trompe.
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Je sème à tout vent
Le Parc des Générations
Ce 19 mai, le parc des générations a été inauguré et ouvert au public. Un nouvel espace vert prend la place de l’ancien parc UNERG. Différents espaces permettent de varier les activités : des bancs pour les flâneurs s’assoir, des jeux pour les enfants se défouler, de grandes pelouses pour courir ou faire des cumulets, un bâtiment HORECA (pas encore ouvert) pour les gourmands ou les assoiffés, un enclos pour les chiens gambader. Chacun y trouvera son plaisir. Le parc est actuellement ouvert 7 jours sur 7 de 8h30 à 22h. Pour y accéder, 3 entrées : rue Marie Saint-Pierre avec un parking pour quelques voitures, rue du Voisin, un accès piétonnier par le halage.
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Marguerite et son invité
Pierre Magnol passe à Tamines au printemps
Charles Plumier, en 1703, a créé le nom « magnolia » pour une famille de plantes à fleurs des régions tempérées chaudes, en l’honneur de Pierre Magnol (1638-1715), médecin et botaniste français, qui fut directeur du jardin botanique de Montpelier. En 1753, Carl von Linné reprit l’appellation dans sa classification des végétaux.
Les arbres se noient
Entre la noue de Moignelée et la Sambre, une prairie de fauche où paissaient des vaches, a repris son aspect originel (lit majeur de la Sambre) en 2011 ; elle a été inondée. Quelques arbres, dans cette prairie, se sont retrouvés les pieds dans l’eau. Après une bonne décennie de résistance, ils abdiquent un à un, n’étant plus adaptés à leur nouveau biotope.
