Unasendil

Tamines, rue de l’Abattoir, L’Amar et Hôtes – le 12/10/2024

Unasendil est un trio fagnard composé d’un sitar (instrument d’origine indienne à cordes pincées), d’une basse et d’une batterie. Parfois le joueur de sitar troque son grand instrument pour une guimbarde métallique, le batteur souffle dans un saxophone et le bassiste active un accordéon. Cette diversité d’instruments produit une musique originale et rythmée. Le sitar commence par une douce mélodie orientale, la batterie dynamise le rythme et la basse ronflante créent une musique dansante. La salle bondée s’échauffe, danse et explose dans une ambiance funk, groove et conviviale. L’ordinaire c’est moche. Amar a cette faculté de dénicher des groupes hors de l’ordinaire. Merci Amar de nous transporter dans un autre monde.

Rumba en Casa

Tamines, rue de l’Abattoir, L’Amar et Hôtes – le 27/07/2024

Ce samedi 27/07, « Rumba en casa », groupe belge, a joué et chanté de la musique afro-cubaine traditionnelle. L’Afrique fait danser Cuba, trouve ses racines dans l’esclavage des plantations. Nous étions les esclaves dansant et faisant la fête, oubliant notre servitude, nos douleurs, notre destin de labeur. Un invité exceptionnel, cubain, Pedro Francisco Almeida Berriel “Tatá” a joué des percussions et chanté. Encore une soirée mémorable organisée par Amar.

Festa Italia

Tamines, rue de l’Abattoir, L’Amar & Hôtes – 08/06/2024

On se serait cru, non pas sur les rives de la Sambre, mais bien au bord de l’Arno. L’ambiance était chaude, ensoleillée, voluptueuse, italo-rock grâce au groupe Carossello Band parfois accompagné du jeune accordéoniste Mirko Bruno. Nous sommes passés du répertoire traditionnel de l’Italie au rock italien. Que le rythme soit traditionnel ou plus rock, la musique enivre et incite à danser. Il faut s’imposer pour trouver un petit espace pour se déhancher ou enlacer sa partenaire. Viva Italia, viva Amar qui a organisé une aussi belle soirée !


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Julien Hucq Quartet

Tamines, rue de l’Abattoir, l’Amar et Hôtes – 11/05/2024

Julien Hucq, natif d’Aiseau, est un musicien de jazz, saxophoniste, compositeur, arrangeur et producteur. Il est diplômé de « City University of New York », du Conservatoire de Lausanne et du Conservatoire National de la Région de Paris. Il vit à New York depuis 2012 et y a développé une carrière de musicien de jazz aux multiples compétences. L’Amar et Hôtes de Tamines avait l ’honneur de le recevoir pour un concert intimiste ce samedi soir. Il se produisait sous forme d’un quartet : Manolo Cabras à la contrebasse, Martin Daniel aux claviers, invité spécial Karim Ziad à la batterie. Mais ce n’est pas tout. Une performance du dessinateur Egon s’est déroulée en « live » et projetée sur écran. Je me suis laisser dire que Egon était le frère de Julien. Une belle complicité familiale. Vous n’y étiez pas, tant pis pour vous, moi j’ai passé une excellente soirée. C’est toujours comme cela chez Amar, des pépites en petit comité.

Jacques Steinier expose ses peintures à Tamines

Tamines, rue de l’Abattoir, L’Amar et Hôtes – le 09/12/2023

Durant ce week-end, le peintre Jacques Steinier exposait ses peintures à L’Amar & Hôtes. Ses peintures spontanées, à l’huile, éclatent de couleurs. Le peintre est revenu aux sources puisqu’il a fréquenté l’académie de Tamines. Jesebel, accompagnée à l’accordéon de Marc Kaiser, a animé la soirée du samedi. La chanteuse a interprété des chansons françaises, de Piaf à Brel en passant par Aznavour. Pour clôturer la soirée dans la bonne humeur, certains membres du public se sont emparés du micro et ont poussé la chansonnette. Très belle soirée où la peinture et la musique ont été complémentaires.

Nid de monstres au Pota’Sambre

Tamines, rue de l’Abattoir – le 31/10/202

Vers 17h revenant du travail, je passe rue de l’Abattoir à Tamines.
Zut mon scénario de tient pas, c’est un cul de sac.

Le Pota’Sambre organisait ce 31 octobre « Halloween ». Une multitude de monstres, squelettes, sorcières, princesses, démons sanguinolents ont envahi la rue de l’Abattoir et sonnaient frénétiquement aux portes pour réclamer quelques bonbons. Je ne vous décris pas le sort des riverains qui refusaient les quelques friandises. Cette frénésie hystérique s’est calmée par une soupe au potiron magique.