Prestation de serment des Petits Conseillers communaux de Sambreville
Catégorie : Auvelais – Grand-Place
Djembé à gogo
Je ne quitte plus l’Afrique, après Sambr’Africa fin août, me voici dans une soirée Djembé. Et cela se confirme, cet accueil chaleureux, cette bonne humeur, cette ambiance africaine sont extraordinaires. Merci Aïcha et son équipe.
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La Casa d’el Djembé
Le festival Sambr’Africa se termine en apothéose. En effet « La Casa d’el Djembé » nous a criblé d’éclats de rire, de bonheur, de musique, de chant, de danse. Le son des djembés impose un rythme trépident que les autres instruments doivent suivre : kora, balafon, guitare basse, percussion, clavier, …. Un dernier concert qui suscite en nous : vivement l’année prochaine !
Semos & the Wacky Racers
La nuit est tombée lorsque Semos & the Wacky Racers anime notre quatrième escale. Nous sommes en Jamaïque et le « reggae dub » nous fait danser. Soit avec la Jamaïque nous sommes de l’autre côté de l’océan mais cette île diffuse une musique très rythmée, pleine de soleil. Soyons de bon compte, le reggae a été influencé par la musique africaine. Pour le « dub », pour ce que j’en ai compris, il y a un remixage électronique de la musique en plus des instruments en live. C’est technique, compliqué mais le résultat est très rythmé et dansant. Cela met de l’ambiance !
Dialy Cunda
La troisième étape de Sambr’Africa nous transporte au Sénégal. Et voilà que Dialy Cunda nous emmène dans un tourbillon de mélodies africaines. Khodou Cissokho, musicienne, chanteuse, compositrice, et chorégraphe est née en Casamance ; issue d’une famille de griots musiciens qui transmettent les traditions. Elle est la voix du groupe Dialy Cunda. Le groupe soutient l’enseignement en Afrique.
Rumba en Casa
Second chapitre de Sambr’Africa, « Rumba en casa » a joué et chanté de la musique afro-cubaine traditionnelle. L’Afrique fait danser Cuba, trouve ses racines dans l’esclavage des plantations. Les esclaves chantaient, dansaient et faisaient la fête, pour oublier leur servitude, leurs douleurs, leur destin de labeur.
Zouratié Koné – Waati
Zouratié Koné ouvre en douceur le festival Sambr’Africa. Son premier instrument est son sourire. Il a ensuite, au moyen de sa kora et de son balafon, interprété des mélodies d’Afrique de l’Ouest, sa région natale (Burkina Fasso, Mali, Côte d’Ivoire). Il fabrique ses instruments traditionnels. Thomas Jakubczyk a accompagné Zouratié à la percussion, assis sur son cajón et frappant son instrument. Il nous a conté l’histoire des griots et de leur caste. Le griot transmet les mythes, l’histoire des familles et des héros par l’art oratoire et la musique. Zouratié est un griot.
L’incandescence africaine illumine Sambreville
Sambr’Africa, exhibition CASA D’EL DJEMBE. C’est chaud, c’est lumineux, c’est rythmé, c’est humain. Merci l’Afrique !
CRELAN 3×3 Masters
Le CRELAN 3×3 Masters est un circuit belge de basket 3×3 (3 joueurs contre 3, matchs de 8 minutes). En 2025, le circuit compte 9 villes étapes : Genk (28/06), Aalst (29/06), Charleroi (05/07), Ciney (06/07), Mons (12/07), Leuven (13/07), Brussels (19/07), Sambreville (20/07), Antwerpen (26/07). Plus de 400 équipes vont participer à la compétition dans 11 catégories différentes. Les équipes gagnantes de chaque catégorie participeront à la finale le 27 juillet à Antwerpen.
A Auvelais, les premiers matchs ont eu lieu à l’extérieur sur la Grand-Place. La pluie étant venue perturber l’ambiance sportive et festive de la compétition, les matchs suivants se sont déroulés dans le hall omnisports.
La finale dames 16+ Elite a été remportée par Ciney contre Namur capitale.
La finale hommes 23+ Elite a été remportée par Liège 3×3 contre Leuven.
« Good vibes » aux équipes de Ciney et Liège pour la finale à Antwerpen !
Alors on danse ?
Lors d’une chaude soirée d’été, des amis se rassemblèrent dans la grande Calebasse de la Grand-Place. Des cocktails aphrodisiaques étaient partagés dans des coques de cucurbitacées. Des hommes, étant accompagné de leur djembé, se sont mis à les frapper. Les rythmes africains résonnèrent dans le silence de la nuit. Une femme cria « Alors on danse ? ». Les danseuses et danseurs se levèrent et se déhanchèrent. Et le temps s’écoula à la cadence des sons qui se perdaient dans l’obscurité. Et les femmes, les hommes, les enfants riaient de bonheur et d’amitié.
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