
Péniche « Ares », 1958, 352 tonnes, longueur 39 mètres, largeur 5,03 m, tirant d’eau 2,41 m.
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© Bernard Janssens
Péniche « Ares », 1958, 352 tonnes, longueur 39 mètres, largeur 5,03 m, tirant d’eau 2,41 m.
Vitraux du chœur de l’église Sainte-Barbe dans le quartier de la Sarthe à Auvelais. Don des demoiselles Louise et Amélie Petit. L’église a été consacrée le 27/07/1907.
En septembre 1944, les Allemands en retraite sont partout et veillent. Il faut les aider à quitter le pays. Le 2 septembre à 19h30, la BBC lance un message de mobisliation pour la résistance. Le 4 septembre à 8h30, Max Wery, commandant du refuge Jaguar, convoque ses responsables de sections au bois de Serrée, près de Bothey. Sans attendre, Gustave Swaelens de Wanfercée-Baulet prend la route pour rejoindre le Q.G. du refuge au château de Mielmont. Rue de Balâtre à Velaine, une escarmouche avec une patrouille allemande l’empêche de rejoindre ses frères d’armes. Il avait 23 ans.
Les murs de la poudrière sont atypiques pour le 21ème siècle. En effet, les murs de briques de la poudrière sont en « panneresse et boutisse ». N’étant pas doublés par des blocs, les murs ont une épaisseur d’une brique et demie. Sur un lit, le maçon dispose à droite les briques en panneresse et à gauche en boutisse. Sur le lit suivant, le maçon inverse, à droite les briques sont disposées en boutisse et à gauche en panneresse. Les briques étant imbriquées les unes dans les autres et le mur étant plus épais, il tenait debout sans le soutien des blocs modernes.
Une brique est dite panneresse si elle est posée de manière à ce que sa surface longue soit visible.
Une brique est dite boutisse si elle est posée perpendiculairement par rapport au mur de manière à ce que son petit côté soit visible.
En mettant en ligne les premières photos de la poudrière, il y a quelques jours, j’ai remarqué la lettre « S » sur le linteau du porche. Mais pas possible d’en lire plus. J’ai donc pendu mon Nikon en bandoulière et j’ai placé mes bottines dans le sentier de la poudrière. J’ai pu lire « SOCIETE d’ARENDONCK 1928 ».
Elke Arendonkenaarkent al generatieslang «‘t Poeier» alssynoniemvoor de dynamietpoederfabriek die eind 1872 in Arendonk werdopgericht. Dezedynamietfabriek, in de volksmondhet « Poeier » genoemd, heettebij de oprichting « Société d’ Arendonck ». Laterwerdhet « Société d’ Arendonck d’ Explosifs S.A. ». Hetspringstoffengedeeltewerdin 1963 overgenomendoor de groep « Poudreries Réunies de Belgique » (P.R.B.). (Extrait du site http://www.tpoeier.be/beschrijving.php)
Arendonk est une commune de la province d’Anvers située près de Turnhout. Une fabrique de dynamite nommée « Société d’Arendonck » y était située. Cette société créée en 1872 fût reprise par les Poudreries Réunies de Belgique en 1963.
Ce texte gravé dans le béton est le seul lien probant entre la poudrière de Velaine et la fabrique de dynamite d’Arendonk. A partir de maintenant, je dois écrire au conditionnel. Je suppose que la Société d’Arendonck a racheté notre poudrière sambrienne pour établir une filiale ou créer un dépôt à proximité des charbonnages et carrières de la Basse-Sambre. Ce rachat a pu donner lieu à la construction ou la rénovation de ce bâtiment en 1928.