Djembé Mitoussa organise, depuis plusieurs années, un festival musical africain à Auvelais. Le groupe organisateur ouvre le festival. Cette année, ils ont été accompagnés par les jeunes musiciens de « Casa D’el Djembé ». Rassuré, la relève est assurée 😊
Dans le cadre du 50ème anniversaire de la Maison des Jeunes de Sambreville, 3 concerts étaient programmés en soirée. La soirée s’est clôturée en apothéose. En effet le groupe « BE 80’s » a inondé le jardin d’AROCA de rythmes des années 80 et de New Wave. Simple Minds, Depeche Mode, U2, Soft Cell, OMD, Eurythmics, Indochine, Rita Mitsouko, The Cure, Duran Duran, Talk Talk, Visage ont enflammé le public de l’espace « chill » du presbytère. Monsieur le curé a eu du mal à s’endormir. Ah, que c’était bien ! Pour son demi-siècle d’existence, la MJ change son identité : ne dites plus « MJ Sambreville » mais « AROCA ».
Dans le cadre du 50ème anniversaire de la Maison des Jeunes de Sambreville, 3 concerts étaient programmés en soirée. Le second concert était haut en couleurs mais surtout en sons. Le public en a eu plein les oreilles de sons festifs. En effet « brass band » implique des cuivres et des percussions. Gustave a mis l’ambiance et a fait danser le public dans le jardin de la MJ ; pardon dans le jardin d’AROCA. 12 musiciens déchainés soufflant ou frappant leurs instruments ça fait du bruit, ça met de l’ambiance, c’est la fête. On en redemande
Pour son demi-siècle d’existence, la MJ change son identité : ne dites plus « MJ Sambreville » mais « AROCA ».
Dans le cadre du 50ème anniversaire de la Maison des Jeunes de Sambreville, 3 concerts étaient programmés en soirée. ENDELOST à ouvert le bal. ENDELOST est un jeune groupe rock qui nous balance entre le rock classique et rock actuel. Très belle prestation de ce quatuor qui augure d’un avenir rythmé et prometteur. Pour son demi-siècle d’existence, la MJ change son identité : ne dites plus « MJ Sambreville » mais « AROCA ».
« Nous continuerons, nous sommes et resterons déterminés à vouloir construire un autre monde parce que ce défi est juste pour toutes et tous. » (Jean-Pierre Togi) Par la journée de clôture du festival, vous avez pu découvrir ou participer : à une fresque du climat, à des trocs vêtements / livres / plantes, à des animations de la bibliothèque, à un « repair café », à des jeux anciens, à une balade vélo ; le tout animé par un DJ (vynile). Dans le parc d’Auvelais, l’ambiance était décontractée, conviviale et non consumériste.
Vers 17h revenant du travail, je passe rue de l’Abattoir à Tamines. Zut mon scénario de tient pas, c’est un cul de sac.
Le Pota’Sambre organisait ce 31 octobre « Halloween ». Une multitude de monstres, squelettes, sorcières, princesses, démons sanguinolents ont envahi la rue de l’Abattoir et sonnaient frénétiquement aux portes pour réclamer quelques bonbons. Je ne vous décris pas le sort des riverains qui refusaient les quelques friandises. Cette frénésie hystérique s’est calmée par une soupe au potiron magique.
Avec Dialy Cunda le Sénégal prend possession de la grand-Place et fait vibrer Sambreville aux sons des tropiques. Pape de la Kora est resté en scène et de ce fait deux koras ont accompagné Dialy Cunda.
La joie africaine a inondé Sambreville ! Merci l’Afrique !