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© Bernard Janssens
« Nous continuerons, nous sommes et resterons déterminés à vouloir construire un autre monde parce que ce défi est juste pour toutes et tous. » (Jean-Pierre Togi)
Par la journée de clôture du festival, vous avez pu découvrir ou participer : à une fresque du climat, à des trocs vêtements / livres / plantes, à des animations de la bibliothèque, à un « repair café », à des jeux anciens, à une balade vélo ; le tout animé par un DJ (vynile).
Dans le parc d’Auvelais, l’ambiance était décontractée, conviviale et non consumériste.
Vers 17h revenant du travail, je passe rue de l’Abattoir à Tamines.
Zut mon scénario de tient pas, c’est un cul de sac.
Le Pota’Sambre organisait ce 31 octobre « Halloween ». Une multitude de monstres, squelettes, sorcières, princesses, démons sanguinolents ont envahi la rue de l’Abattoir et sonnaient frénétiquement aux portes pour réclamer quelques bonbons. Je ne vous décris pas le sort des riverains qui refusaient les quelques friandises. Cette frénésie hystérique s’est calmée par une soupe au potiron magique.
Entre le concert de Pape de la Kora et de Dialy Cunda, le son des tam-tams suinte de l’obscurité. Les musiciens apparaissent sur la Grand-Place et une, puis deux, puis trois, quelques danseuses se trémoussent. Et la fête commence.
La joie africaine a inondé Sambreville ! Merci l’Afrique !
Pape ne se sépare pas de sa kora, instrument à cordes du Mali. De cet instrument, il sort des sonorités blues-jazz mais peut dévier vers des rythmes plus traditionnels. Modernité et tradition, un amalgame gagnant qui met l’ambiance.
La joie africaine a inondé Sambreville ! Merci l’Afrique !
La pluie a dansé sur les fréquences de la Salsa Party au pied de l’église Saint-Martin. Mais cela n’a pas refroidi les danseurs qui étaient à l’abris. Les rythmes cubains ce sont succédés et les danseurs se sont déhanchés. Ambiance chaude et sensuelle en bord de Sambre.