Les Baudet’rières recevaient Le Chambard pour une rencontre d’improvisation théâtrale. Cette joute a mis le chambard, un chambard de rire, de bonne humeur et d’émotions.

© Bernard Janssens
Le CRAC’S (Centre Culturel de Sambreville) a organisé pour la 3ème fois son grand défilé de lanternes lumineuses. Pendant plusieurs mois des ateliers, ouverts à tous, ont confectionné des centaines de lanternes de papier. Des guirlandes de lampes LED y ont été intégrées. Les tailles des lanternes sont variables de quelques dizaines de centimètres à plusieurs mètres. Certaines sont portées, d’autres se déplacent à vélo ou sur des charrettes. Le thème cette année était l’eau. 3 cortèges ont amené les lanternes sur la place Saint-Martin à partir de : la rue de l’Abattoir, d’AROCA par la rue de la Station, du Pré des Haz. Un spectacle d’acrobatie, des danses, des chants ont eu lieu sur la place Saint-Martin baignée de lumière et toutes les lanternes y ont défilé. Une musique originale a accompagné toute cette fête grandiose de la lumière.



La chapelle Notre-Dame de Walcourt a été construite en 1862 en remerciement à la Vierge. En effet, une petite fille était tombée dans une fosse à purin. Elle était en train de se noyer et la Vierge serait intervenue pour la sauver. C’est la famille Bruyère qui est à l’origine de sa construction. Elle est aujourd’hui propriété de la commune. Elle a été restaurée en 1970, en 1995 et en 2022 par le comité de quartier du Gay.
Texte du panneau, placé près de la chapelle, édité par le comité de quartier du Gay

Je ne quitte plus l’Afrique, après Sambr’Africa fin août, me voici dans une soirée Djembé. Et cela se confirme, cet accueil chaleureux, cette bonne humeur, cette ambiance africaine sont extraordinaires. Merci Aïcha et son équipe.

Le festival Sambr’Africa se termine en apothéose. En effet « La Casa d’el Djembé » nous a criblé d’éclats de rire, de bonheur, de musique, de chant, de danse. Le son des djembés impose un rythme trépident que les autres instruments doivent suivre : kora, balafon, guitare basse, percussion, clavier, …. Un dernier concert qui suscite en nous : vivement l’année prochaine !

La nuit est tombée lorsque Semos & the Wacky Racers anime notre quatrième escale. Nous sommes en Jamaïque et le « reggae dub » nous fait danser. Soit avec la Jamaïque nous sommes de l’autre côté de l’océan mais cette île diffuse une musique très rythmée, pleine de soleil. Soyons de bon compte, le reggae a été influencé par la musique africaine. Pour le « dub », pour ce que j’en ai compris, il y a un remixage électronique de la musique en plus des instruments en live. C’est technique, compliqué mais le résultat est très rythmé et dansant. Cela met de l’ambiance !

La troisième étape de Sambr’Africa nous transporte au Sénégal. Et voilà que Dialy Cunda nous emmène dans un tourbillon de mélodies africaines. Khodou Cissokho, musicienne, chanteuse, compositrice, et chorégraphe est née en Casamance ; issue d’une famille de griots musiciens qui transmettent les traditions. Elle est la voix du groupe Dialy Cunda. Le groupe soutient l’enseignement en Afrique.

Second chapitre de Sambr’Africa, « Rumba en casa » a joué et chanté de la musique afro-cubaine traditionnelle. L’Afrique fait danser Cuba, trouve ses racines dans l’esclavage des plantations. Les esclaves chantaient, dansaient et faisaient la fête, pour oublier leur servitude, leurs douleurs, leur destin de labeur.